le kiosque de fleurs!

Nombre de messages : 10 Age : 30 Date d'inscription : 04/02/2008

Leah Etait derriere le comptoir sa clientele habituelle ne s'étais meme pas presenter ce jour là ...Le temps dehors étais affreux il pleuvait des gouttes énormes et le ciel étais plein de lumiere car les éclairs dansait en suivant le rythme déchainer de la pluie et du tonerre..de toute maniere les fleurs qu'elle avait cueillit n'étais pas les plus belles ce jour là ...la journée commençait bien mal pourtant le temps a l'horloge affichait seulement 11h34 du matin...elle sentait que sa journée serait extrememenet longue et ennuyeuse.. elle s'assit en dessous du petit toit pouvant la proteger de cette pluie torencielle..elle prit le journal sur la petite table et commenca a le feuilleter...elle pensait a noah son petit garçon et cela lui redonna le sourire..elle savait qu'en penssant a lui grace a un bizarre de pouvoir qui les liait l'affection qu'elle lui portait a distance pouvais le reconforter et elle elle pouvais sentir ses emotion et réciproque garce a ce lien invisible...elle le reconforta et savait qu'il dormait paisiblement et cela la combla de joie...
l'endroit ou elle se trouvais comptait beaucoup d'autre kiosque mais aujourd'hui personne ne s'étais vraiment presenté apart elle meme car elle n'avais pas beaucoup d'argent et cela pouvait etre bénéfique elle resta quelque temps assis a lire le journal attendant que quelqu'un vienne

Vampire démoniaque Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 21/07/2007

Bordel, pourquoi encore le soleil, toujours cet astre lumineux qui pouvait m'exterminer à tout moment. C'était pénible, vivre une demie vie. Bien sur la plupart des mortels dormaient durant la nuit, mais je me souviens très bien que j'étais pas un gros dormeur de mon vivant. M'enfin, je pouvais très bien passer une semaine à ne pas dormir.

trêve de rêveries, le soleil avait enfin dénier se coucher et sans plus tarder je m'étais extirper de se trou à rat qui me servait de domicile. J'étais dans la cave d'une taverne, pas chic hic comme endroit,mais bon, c'était mieux que de se faire cramer en pleine place public. Le bruit des ivrognes m'avait complètement rendu fou, c'est espèces de saoulons, incapable de passer une journée sans boire. En parlant de boire, j'avais bien aimé la façon dont ma dernière victime c'était défendue. C'est qu'elle avait du caractère cette poulette.

Les derniers rayons du soleil étaient toujours visible lorsque je sortit au grand air. Le village était encore bondé. Tant mieux, j'allais avoir de la compagnie. Je m'étais dirigé tranquillement vers les kiosques. D'un pas lâche et lent, j'avais flâné durant près d'une demie heure avant d'arriver vers le lieux de mes convoitises. Les mignonnes petites vendeuse serraient leurs étalages, dommage, moi qui avait bien envie de dépenser. Se ne fut pas long que je vit la dernière qui n'était pas encore partie. Elle vendait des fleurs... c'est mignon des fleurs, bien que ça ne met jamais vraiment attiré. Je m'étais approché d'elle, affichant un sourire radieux comme à mon habitude.

-êtes-vous toujours ouverte ?

Je semblait l'avoir dérangé, perdue dans ces rêveries quelconques qui s'intéressait qu'elle même. Elle n'avait relevé la tête vers moi que lorsque j'avais oser parlé. Peut-être n'avait elle même pas réalisé l'heure qu'il était.

-Si je dérange je peu repasser, j'ai seulement eut l'idée d'acheter quelque fleurs.

Je me balance de ses fleurs, tout se qui m'intéressait, c'était son sang. Je n'étais pas en manque, rien de tout cela. C'était sans aucun doute par pure gourmandise que j'aimais tuer de pauvres innocentes. M'enfin, si elle était gentille peut-être le serais-je avec elle en retour.

HJ: désoler chérie mais j'ai été obligé de faire avancer le court des chose... j'avais pas envie de finir brulé, simplement pour pouvoir te répondre :HJ

Nombre de messages : 10 Age : 30 Date d'inscription : 04/02/2008

moi, j'avais passer le plus clair de mon temps a lire un journal...je m'ennuyait a mourir le peu de client que j'avais reçu aujourd'huii n'avais pas suffit a m'occuper...en faite il y en avais euu pas plus de 4 ouu peut-etre a la limite il y en avais eu 6.. ce fut ue journée d'a peine 3 piecee d'or ce qui compassait a peine pour les repas d'une journée..ce soir au souper vers l'heure de 20h00 je devrait couper dans quelque chose...peut-etre serait ce le lait ou peut-etre le pain je verrai pour l'instant un client me demandait alors je me suis levé et je me suis rendu vers l'homme en question..il y avait quelque chose en lui qui ne me plaisait pas j'avais envie de m'enfuir mais le peu de client de la journée m'empechait de le faire par pur bien etre pour mon fils...

je m'addressai donc a cette homme avec hate je voullait tout simplement me retrouver ailleur qu,au marché la journée avait passé si lentement que je ne m'étais meme pas rendu compte qu'il etait la pour me faire pardonner je lui repondit poliment avec vitesse

-Monsieur toute les fleurs qu'il me reste de la journée en faite je vous les offre je n'en ai pas besoin je les jeterai de toute manière etje ne veux pas vous faire payer pour de tel laideur

dit je en jetant un regars vers les 7 bouquet restant cela était vrai ces bouquet ne valait meme pas le tier du prix regulier et tant qua marchander avec cette homme inquietant je preferais les lui donné apres avoir prononcé ces quelques mots rapidement je ramballais mes chose avec rafinnement et pris le chemin vers ma chaumiere qui se trouvait bienn assez pres du marché pour y rentrer a la marche...j'avais toujours eu peur du noir ce qui me fit courir vers la maison ou j'avais hate de retrouver le jeune homme de ma vie , mon fil. j'avais faim mais l'inquietude et lapeur me fit perde toutee apetit...je courrait a toute vitesse j'était maintenant a quelque metre de l'entré et j'étais completement trempé...

Je me réveilla en plein nuit. Je regardai par la fenêtre et une pleine lune éblouissait mes yeux. Je me levai et enfila ma robe de chambre. J'ouvrir la fenêtre tout grand, le vent chaud de la nuit froid me souffla légèrement dans le visage. J'eu soudainement envie d'aller prendre une petite marche. Je m’habillai et sorti par la fenêtre pour ne as que mon père ou encore ma belle-mère, ou même mes demi-sœur me voient. J’étais quand même assez rétabli de ma mésaventure avec le fameux vampire car sa fessais deux jour que je ne bouchai pas et que j’étais couché dans mon lit. J'avais vraiment besoin d'une marche. Je me dis que le marcher était une bonne place et marcha tranquillement là-bas. Tout tent marchant je regardai autour de moi pour savoir s’il avait quelqu'un. J’étais quand même très peureuse. J'arriva finalement au marcher.

Vampire démoniaque Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 21/07/2007

J'avais regarder la jeune vendeuse partir, avait elle sut que je n'étais pas normal ou était elle tout simplement stupide ? Il mettais impossible de le savoir.

J'étais resté la un long moment à regarder le vide. J'étais loin d être d'humeur à la poursuivre. c'est à se moment que je reconnu l'énergie d'une personne, m'enfin, d'une victime familière. Cette monstruosité à demi oiseau, à demi humaine, avait réussi à me retrouver. Elle en voulais encore ou quoi ?

Je mettais retourné lentement vers elle, avec, comme à mon habitude, mon sourire le plus radieux. C'est qu'il ne fallait pas les effrayer ces pauvres petites choses.

-Tu t'es ennuyée de moi ?

Elle venait sans doute de me remarquer, je pouvais voir son aire apeuré. Décidément, elle ne s attendais pas à me voir d'aussitôt.

J'arrivais a peine au marcher que déjà quelqu'un me parlais. Et enfin je me tournai et le vu. En faite, je le regardai sens vraiment le voir. J’étais comme glacer. Pourquoi il était encore la lui? Je venais à peine de me rétablir que déjà je revoyais l'homme qui avais fa-ii me tuer. En fin, je n’étais pas assez rétabli pour me sauver. Alors je restai la, pensive, a le regarder. Il me regardait lui aussi. Il avait sens doute plus faim maintenant, bref il ne m'attaqua pas. Pas pour le moment en faite.

-Pas du tout. Et toi?

J'avais répondu à sa question avec beaucoup de tac au tac. Ont n'était à une bonne distance alors, pour le moment, je n'avais pas vraiment peur. Je soutenu son regard qu'il avait l'air fatiguer. Mais s'était peut-être seulement une élussions.